Selon l’Organisation Mondiale de la Santé : «La sédentarité est le quatrième facteur de risque de mortalité au niveau mondial.»
Le développement de programmes de recherche permet d’évaluer l’impact de la pratique d’activité physique sur la réduction des récidives de cancers et sur les maladies chroniques ainsi que l’amélioration de la qualité de vie des patients.
L’activité physique diminue le risque de mortalité cardiovasculaire et de mortalité toutes causes confondues, améliorant ainsi l’autonomie et le moral.
Parce qu’elle peut atténuer les effets indésirables des traitements, réduire la fatigue ou la douleur, l’activité physique et sportive constitue un vecteur utilisé par différentes équipes d’accompagnement des malades dans des programmes adaptées et encadrés. Ceux-ci montrent l’utilité physique, psychologique et sociale de ces activités et leurs impacts positifs sur l’environnement des malades